Les toiles de coton fines et solides comme le nankin, le basin et les indiennes constituent la matière principale des habits féminins sous l'Empire mais aussi pour les gilets, cravates et chemises des hommes ainsi que les bas, draps, couvertures, bonnets et mouchoirs.
La mousseline est elle très à la mode. On retrouve beaucoup de velours et de satin, le linon de Saint-Quentin est aussi très apprécié - C'est à la fin du XVIe siècl que sa production textile se spécialise dans les toiles fines de lin (linon et batiste). Elle retrouve sa prospérité, notamment au XVIIIe siècle, où ces toiles sont exportées dans toute l'Europe et aux Amériques.-
La quête de légèreté favorise l'essor du gaze, de la tulle, du lamée et de la crêpe.
La soie de la région lyonnaise, le velours broché, satin et taffetas sont bien appréciés.
Pour ce qui est du monde rural, les étoffes de laine comme le serge et la flanelle sont préférés ainsi que le casimir pour les pantalons.
Toiles de lin et chanvre pour fichus et cravates.
L'Aly